Avec le printemps, les rayures sont à l’honneur dans les collections et les initiatives nombreuses. ingyen nyerőgépes játékok kockás Rappelons qu’un tissu bayadère présente « de larges rayures de couleurs plus ou moins vives». Le terme vient du portugais balhadeira, lui-même dérivé de bailar = danser. Le nom de bayadère a en effet été donné aux danseuses sacrées de l’Inde (d’où le ballet bien connu de Marius Petitpa) avant de désigner le tissu dont était fait leurs vêtements, puis le type de rayures qui caractérisaient ceux-ci.
Aujourd’hui, porter un vêtement rayé nous semble anodin. Cela n’a pas toujours été ainsi ! Michel Pastoureau, historien des couleurs, explique dans son livre Rayures (Seuil) qu’au Moyen Age en Occident, le port de vêtements rayés était réservé à certaines catégories d’exclus ou de réprouvés. Il faudra attendre l’époque industrielle pour que les tissus rayés perdent leurs traces d’impureté. Sur le plan visuel, la rayure est une marque signalétique plus forte que l’uni car elle constitue un écart donc une surface qui se voit de loin, l’oeil étant un excellent différenciateur de couleurs. sportfogadas
Voici nos repérages « bayadères ». Pleins de bonne humeur, ils ont un air de vacances :