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L’objectif du dispositif lumineux est de permettre une meilleure visibilité des taxis et rendre plus évidente pour les clients l’information quant à la disponibilité, grâce à un code couleur tout en limitant les investissements financiers pour les taxis. Christine Lagarde vient d’en donner l’autorisation.

Le nouveau cahier des charges prévoit un éclairage vert si le taxi est libre et un éclairage rouge si le taxi est occupé. De plus, par rapport à la situation actuelle, les dispositifs lumineux de plus grande largeur seront permis.

Ces indications doivent être visibles de l’avant et de l’arrière du véhicule, de jour comme de nuit, quelles que soient les conditions d’ambiance lumineuse. Les lettres A, B, C et D indiquant les différents tarifs dans l’ordre croissant (course de jour, course de nuit, course le dimanche et les jours fériés avec retour à vide à la station…) sont disposées par ordre alphabétique. Elles sont de couleur noire sur fond blanc pour le tarif A, orange pour le tarif B, bleu pour le tarif C et vert pour le tarif D.

C’est ce que précise un arrêté publié au Journal officiel du mercredi 4 mars 2009.

Codes couleur évidents: vert de la permission et le rouge de l’interdit. Pour avoir souvent écarquillé les yeux au passage d’un taxi, Couleur & Marketing soutient avec énergie cette initiative. La couleur adoptée par les taxis de certaines municipalités est à lui seul un sujet culturel: les couleurs les plus fréquemment rencontrées sont le jaune, le rouge pour leur pouvoir d’attractivité et le noir pour son coté officiel mais on peut aussi trouver une influence des couleurs du drapeau national. Les cabs londoniens sont noirs, le jaune est adopté à New-York, Stockholm ou Moscou et le vert dans certaines villes d’Italie. Des décors foisonnants et parfois protecteurs viennent souvent agrémenter les tuk-tuk de Bangkok et les Jeepneys de Manille.